Collecte sélective Moins de déchets, c'est possible
Lu sur l'Ardennais : «BOUTEILLE, bidon, flacon », voilà le trio gagnant des sacs jaunes, selon Hervé Tinois, responsable du service de collecte des déchets ménagers de la ville.
Il était invité par Nature et Avenir, mardi, dans le cadre de la semaine du développement durable. Il a répondu aux nombreuses questions des participants.
Jean-Paul Davesne, secrétaire de l'association, a fait un vaste tour d'horizon du sujet des ordures ménagères. Il a rappelé que chaque habitant génère 400 kg de déchets par an, dont les trois quarts sont en théorie recyclables. Même si le coût du recyclage semble élevé, ne pas y recourir coûterait plus cher.
Jean-Paul Davesne et Hervé Tinois, sur le plan local, ont également donné de précieux conseils : ne pas acheter des produits sur-emballés (un emballage vaut en moyenne 20 % du prix du produit), employer des produits concentrés, des recharges ou des gros conditionnements, consommer l'eau du robinet (celle de Rethel est de bonne qualité), composter soi-même ses déchets organiques et de jardinage ou utiliser les bennes à déchets verts (le terreau qui en est issu est fourni gratuitement par la déchetterie aux habitants), refuser les publicités par l'apposition de l'autocollant « stop pub » sur la boîte aux lettres. Ces quelques exemples montrent bien que chacun peut agir à son niveau.
Quelques avancées sont manifestes : le recul très net des sacs en plastique ou l'usage désormais établi des ampoules à longue durée.
Les collectivités, quant à elles, ont différents moyens d'action. Elles sont de plus en plus nombreuses à encourager leurs administrés à composter en leur fournissant le matériel adéquat ou en privilégiant la pesée embarquée des déchets jetables, ce qui peut réduire ceux-ci des deux tiers grâce à un recyclage maximal.
Cette dernière solution est évidemment plus facilement applicable en zone pavillonnaire qu'en zone d'habitat vertical. Mais la palme de la responsabilité environnementale revient sans conteste à Jean-Paul Davesne qui porte depuis 51 ans la même monture de lunettes (un record ?).
Il était invité par Nature et Avenir, mardi, dans le cadre de la semaine du développement durable. Il a répondu aux nombreuses questions des participants.
Jean-Paul Davesne, secrétaire de l'association, a fait un vaste tour d'horizon du sujet des ordures ménagères. Il a rappelé que chaque habitant génère 400 kg de déchets par an, dont les trois quarts sont en théorie recyclables. Même si le coût du recyclage semble élevé, ne pas y recourir coûterait plus cher.
Jean-Paul Davesne et Hervé Tinois, sur le plan local, ont également donné de précieux conseils : ne pas acheter des produits sur-emballés (un emballage vaut en moyenne 20 % du prix du produit), employer des produits concentrés, des recharges ou des gros conditionnements, consommer l'eau du robinet (celle de Rethel est de bonne qualité), composter soi-même ses déchets organiques et de jardinage ou utiliser les bennes à déchets verts (le terreau qui en est issu est fourni gratuitement par la déchetterie aux habitants), refuser les publicités par l'apposition de l'autocollant « stop pub » sur la boîte aux lettres. Ces quelques exemples montrent bien que chacun peut agir à son niveau.
Quelques avancées sont manifestes : le recul très net des sacs en plastique ou l'usage désormais établi des ampoules à longue durée.
Les collectivités, quant à elles, ont différents moyens d'action. Elles sont de plus en plus nombreuses à encourager leurs administrés à composter en leur fournissant le matériel adéquat ou en privilégiant la pesée embarquée des déchets jetables, ce qui peut réduire ceux-ci des deux tiers grâce à un recyclage maximal.
Cette dernière solution est évidemment plus facilement applicable en zone pavillonnaire qu'en zone d'habitat vertical. Mais la palme de la responsabilité environnementale revient sans conteste à Jean-Paul Davesne qui porte depuis 51 ans la même monture de lunettes (un record ?).
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