Après Thomé-Génot Catalina continue...
Lu sur Yahoo : "ONTARIO (RC) - Une cinquantaine d'employés bloquent l'accès aux usines d'Aradco et d'Aramco de Windsor. Lundi soir, les travailleurs ont appris par téléphone qu'ils étaient mis à pied. Les appels les informaient de ne pas se présenter au travail le lendemain.
Le président de la section 195 des TCA, Gerry Farnham, mentionne que les employés mis à pied n'ont pas reçu d'avis de licenciement en bonne et due forme. De plus, selon le syndicaliste, l'entreprise qui possède les deux usines n'a pas payé une partie du salaire des employés et n'a pas versé les indemnités de vacances. Gerry Farnham ajoute que si la fermeture est définitive, les employés ont également droit à des indemnités de départ. M. Farnham prévient que la situation pourrait dégénérer.
Les deux usines, qui appartiennent à l'américaine Catalina Precision Products, étaient des fournisseurs de Chrysler. Le constructeur a obtenu jeudi une injonction pour récupérer des pièces et des outils chez Aradco. Le syndicat a accepté de laisser passer un camion chargé de récupérer des pièces, mais a refusé que les outils soient emportés.
Les travailleurs assurent qu'ils surveilleront les ateliers jusqu'à ce qu'ils s'entendent avec l'employeur.
Sur l'affaire Thomé-Génot Catalina lire Le livre noir de Thomé-Génot
Le président de la section 195 des TCA, Gerry Farnham, mentionne que les employés mis à pied n'ont pas reçu d'avis de licenciement en bonne et due forme. De plus, selon le syndicaliste, l'entreprise qui possède les deux usines n'a pas payé une partie du salaire des employés et n'a pas versé les indemnités de vacances. Gerry Farnham ajoute que si la fermeture est définitive, les employés ont également droit à des indemnités de départ. M. Farnham prévient que la situation pourrait dégénérer.
Les deux usines, qui appartiennent à l'américaine Catalina Precision Products, étaient des fournisseurs de Chrysler. Le constructeur a obtenu jeudi une injonction pour récupérer des pièces et des outils chez Aradco. Le syndicat a accepté de laisser passer un camion chargé de récupérer des pièces, mais a refusé que les outils soient emportés.
Les travailleurs assurent qu'ils surveilleront les ateliers jusqu'à ce qu'ils s'entendent avec l'employeur.
Sur l'affaire Thomé-Génot Catalina lire Le livre noir de Thomé-Génot
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